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Un mouvement perpétuel

Dans nos archives il y a… un Mouvement perpétuel…

Celui de Louis Aragon qui, en 1924, rejoint le groupe des Surréalistes. Ce second recueil de poèmes marque la rupture de l’auteur avec le mouvement dadaïste et s’inscrit dans le contexte de l’avant-garde poétique du début du 20ème siècle.

Lors du Salon du livre rare de Paris, qui se tiendra du 14 au 16 juin prochain, nous présenterons un projet de couverture réalisé en 1925 pour l’ouvrage de Louis Aragon, recueil qui sera finalement publié chez Gallimard en 1926.

Cette maquette audacieuse d’un point de vue typographique porte au dos une citation de Charles Baudelaire écrite de la main d’Aragon : « J’avais mis quelques cochonneries pour Messieurs les journalistes ils ne se sont pas montrés reconnaissants. »

Les dessins sont de Max Morise, artiste surréaliste, dessinateur et illustrateur, dont nous possédons deux portraits photographiques dans nos fonds.

 


OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
ldiebold (11 juillet 2024). Un mouvement perpétuel. Les carnets de la Fondation des Treilles. Consulté le 15 mars 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/1203m